Le réseau Sudlib est confronté à un problème de plus en plus préoccupant : les agressions physiques et verbales envers les conducteurs de bus, chefs de gare, commerciales et contrôleurs. Ce phénomène prend de l’ampleur et peut entraîner des conséquences graves sur la sécurité des employés tout comme l’arrêt provisoire du
réseau.
Les profils des agresseurs sont variés, des jeunes, des adultes, des hommes et des femmes. Les agressions peuvent se produire en raison de querelles entre passagers, de la frustration causée par l’attente d’un bus, ou simplement parce qu’un usager estime que le conducteur ne fait pas bien son travail.
Toute forme de violence étant inacceptable, Unité Sud Transport a développé une politique « zéro tolérance pour les agressions » et les personnes qui s’y livrent sont passibles de poursuites judiciaires. Un dispositif d’accompagnement et de soutien des salariés victimes d’agressions a été mis en place et une procédure a été établie pour leur permettre de signaler tout incident et recevoir une assistance psychologique et juridique.