Lors du procès en appel de Rodrigue Petitot, ses avocats ont plaidé pour que le président de la Cour d’appel se récuse, invoquant une raison logique : ce dernier avait déjà pris la décision de mettre fin au contrôle judiciaire de leur client et d’ordonner son incarcération. Selon eux, cette situation pouvait soulever un doute légitime sur son impartialité.
Une demande de renvoi a été déposée par la défense, mais celle-ci a été rejetée par la Cour. En conséquence, le procès s’est poursuivi ce jeudi après-midi et pourrait se prolonger jusqu’à vendredi.
Cette affaire suscite une attention particulière, tant par la nature des faits reprochés à Rodrigue Petitot que par les débats juridiques qu’elle engendre. La suite du procès sera déterminante pour la défense comme pour l’accusation, alors que les audiences se poursuivent devant la Cour d’appel.
Par ailleurs, plusieurs élus sont présents dans la salle d’audience, témoignant de l’importance politique et sociale de ce procès. À l’extérieur, devant la Cour d’appel de Fort-de-France, de nombreuses personnes se sont mobilisées en signe de soutien ou d’indignation, renforçant ainsi l’attention portée à cette affaire.
Par ailleurs, plusieurs élus sont présents dans la salle d’audience, témoignant de l’importance politique et sociale de ce procès. À l’extérieur, devant la Cour d’appel de Fort-de-France, de nombreuses personnes se sont mobilisées.